mercredi 20 juin 2012

« C'étaient des noubas monstres ; il y avait au moins cent personnes chez Herb Benjamin, qui habitait un loft en sous-sol dans l'ouest de Manhattan, au niveau des quatre-vingt-dixièmes rues. Les gens débordaient sur les caves, autour de la chaudière. Dans tous les coins il se passait quelque chose, sur tous les lits, les canapés, pas une orgie, non, un réveillon où les gens criaient comme des fous, où la radio hurlait. Il y avait même une Chinoise. Neal courait de groupe en groupe, à la manière de Groucho Marx, tout le monde le bottait. Périodiquement, on fonçait chercher d'autres gens en voiture. Lucien est arrivé. Lucien, c'est le héros de ma bande de New York, tout comme Neal est le grand héros de celle de l'Ouest. Ils se sont déplu au premier coup d'oeil. Tout d'un coup, la petite amie de Lucien a balancé à Lucien une droite à la mâchoire. Il en a titubé. Elle l'a pris sur son épaule, et l'a ramené chez eux. Quelques potes journalistes cinglés sont arrivés du bureau, avec des bouteilles. Dehors, la tempête de neige faisait rage, une merveille. Al Hinkle s'était fait la soeur de Pauline, et il s'était tiré avec elle. J'ai oublié de dire qu'il sait y faire, avec les femmes. Avec son mètre quatre-vingt-dix, il est doux, affable, avenant, crétin, délicieux. Il leur enfile leur manteau. C'est comme ça qu'il faut s'y prendre. A cinq heures du matin, nous voilà en train de traverser la cour d'un immeuble en courant pour entrer dans un appartement par la fenêtre, parce qu'il y avait une fête énorme. A l'aube on est retournés chez Stringham. Les gens étaient en train de faire des dessins, de boire de la bière éventée. J'ai couché avec une fille qui s'appelait Rhoda - la pauvre - sans même qu'on se déshabille, va savoir pourquoi, parce qu'on partageait un canapé. Des foules de gens arrivaient, depuis le bar du campus de Columbia. Toute la vie, tous les visages de la vie s'entassaient dans cette pièce humide. »

mardi 5 juin 2012

"Rien ne Nous paraît plus opportun que de vous exhorter sans cesse à placer votre confiance, plutôt que dans les moyens humains, dans la constante et indéfectible assistance que le Christ a promise à son Eglise, et dans l'immense bonté de Dieu à regard de ceux qui l'aiment."

Pie XI, encyclique Dilectissima nobis du 3 juin 1933 .


 
Une version bien plus ... Stimulante .


Wilt 1 .

- Ce que je n'arrive pas à comprendre dans ces histoires de libération sexuelle et de M.L.F. , c'est pourquoi il faudrait revenir à l'école maternelle pour se libérer , dit Braintree . Elles ont toutes cette idée absurde qu'il faudrait être passionnément amoureux vingt-quatre heures sur vingt-quatre .
- La faute aux singes , fit Wilt d'un air morose .
- Les singes ? Qu'est-ce qu'ils ont à voir là-dedans les singes ?
- Tout ce bazar autour du modèle animal . Si les animaux le font , les humains doivent aussi le faire . La défense du territoire . Le singe nu . On remet tout cul par-dessus tête et au lieu de progresser on recule d'un million d'années . Est-ce que tu prendrait un gorille en auto-stop ? L'égalitarisme du plus petit facteur commun .
" Or avez oy ci-devant les grans persécucions que le Roy et nous souffrîmes, lesquiex persécucions la Royne n'en eschapa pas, si comme vous orrez ci-après. Car trois jours devant ce que elle acouchast, li vindrent les nouvelles que le Roy estoit pris; desquiex nouvelles elle fu si effréé, que toutes les foiz que elle se dormoit en son lit, il li sembloit que toute sa chambre feust pleinne de Sarrazins, et s'escrioit : " Aidiés, aidiés ; " et pource que l'enfant ne feust périz, dont elle estoit grosse, elle fesoit gesir devant son lit un chevalier ancien de l'age de quatre-vingts ans, qui la tenoit par la main; toutes les foiz que la Royne s'escrioit, il disoit : " Dame, n'aiés garde, car je suis ci. " Avant que elle feust acouchiée, elle fist wuidier hors toute sa chambre, fors que le chevalier, et s'agenoilla devant li et li requist un don; et le chevalier li otria par son serement; et elle li dit : " Je vous demande, fist-elle, par la foy que vous m'avez baillée, que se les Sarrazins prennent ceste ville, que vous me copez la teste avant que ils me preignent. Et le chevalier respondi : " Soiés certeinne que je le ferai volentiers, car je l'avoie jà bien enpensé que vous occirraie avant qu'il nous eussent pris. " La Royne acoucha d'un filz, qui ot à non Jehan; et l'appelloit l'en Tristan, pour la grant douleur là où il fu né. Le jour meisme que elle fu acouchée, li dit l'en que ceulz de Pise et de Genes s'en vouloient fuir, et les autres communes. Lendemain que elle fu acouchiée elle les manda touz devant son lit, si que la chambre fu toute pleinne : " Seigneurs, pour Dieu merci ne lessiés pas ceste ville, car vous véez que monseigneur le Roy seroit perdu et touz ceulz qui sont pris, se elle estoit perdue; et si ne vous plet, si vous preingne pitié de ceste chiétive qui ci gist, que vous attendés tant que je soie relevée. " Et il respondirent: " Dame, comment ferons nous ce, que nous mourons fain en ceste ville! " Et elle leur dit que jà par famine ne s'en iroient; " car je ferai acheter toutes les viandes en ceste ville, et vous retieing touz desorendroit aux despens du Roy. " Ils se conseillerent et revindrent à li, et li otroierent que il demourroient volentiers; et la Royne, que Diex absoille, fist acheter toutes les viandes de la ville, qui li cousterent trois cens et soixante mille livres et plus. " Avant son terme la couvint relever, pour la cité que il couvenait rendre aus Sarrazins. En Acre s'en vint la Royne, pour attendre le Roy. "

dimanche 3 juin 2012

Debout les gars !

BREIZATAO – POLITIKEREZH (03/06/2012)

De graves violences se sont déroulées hier soir à Vannes, devant l’hôtel où se trouvaient les conférenciers des Assises Bretonnes sur l’immigration. Une quarantaine d’islamistes avec à leur tête un converti ont tenté d’intimider les participants. Les militants d’ADSAV et de Jeune Bretagne ont repoussé les agresseurs.

Il était près de 19h00 hier lorsqu’une quarantaine d’islamistes ont commencé à s’amasser devant l’hôtel Mercure de Vannes où se tenait le colloque breton sur l’immigration auquel participait notamment Jeune Bretagne et ADSAV. Très rapidement les jeunes nationalistes et autonomistes bretons présents ont formé un barrage à l’entrée de l’établissement. Des cris appelant au djihad, à la mise en place de la chariah pour le pays breton et des menaces de mort sifflaient du côté allogène. Pris à parti, les jeunes Bretons présent ont riposté et chargé énergiquement l’agresseur étranger. Bilan : trois islamistes ont du être hospitalisés en urgence dans un état grave.

Il s’agit de la première grande violence inter-ethnique en région Bretagne. La police n’a dépéché que 3 hommes sur les lieux, étant totalement dépassée par les événements. Les clients de l’hôtel ont massivement salué l’action des jeunes Bretons.


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